Elle vous donne rendez vous samedi soir près de chez vous pour une soirée unique et exclusive @ la Nouvelle Vague Beach Club (Réservations fortement conseillées car les places sont limitées).
Peut être avez vous reconnu la jolie métisse, qui avait scotché le public de The voice avec sa reprise de « come together » des Beatles. La revoilà, avec Benji, loin des plateaux télé pour défendre leurs compositions.

Depuis leur rencontre en auto- stop à Saint Barthélémy, en 2002, les deux Yvelinois en ont posté des reprises sur le net, à l’image du délicat « The Long and Winding Road » des Beatles. Benji et Vincent Martinez aux guitares acoustiques, Annie à nu, les fesses posées sur la jetée de Saint Tropez. Des hobos au royaume du bling bling, un peu de douceur dans ce monde de brut.

Des plages de la très chic Saint-Barth’ à celles, musicales et plus étriquées, des caf’conc’ parisiens ou new yorkais, avec Nungan le voyage est permanent. Enchanteur ou roots, souvent les deux sont leurs compositions, véritables guides sur les routes menant des sixties anglaises à ce XXIe siècle qu’ils recolorent façon psyché de leur pop enchanteresse. Une pop teintée de folk, soul et rock, portée par la voix de tigresse douce d’Annie, héritage flamboyant de son métissage franco-guinéen, et la guitare de Benji, nourrie à la flamme d’un incendie volontaire signé Hendrix.

Des rencontres avec le batteur Papaguyo, un temps compagnon de scène du mythique Sly and the Family Stone, ou avec le musicien et chanteur Claude Jacquin, inspirateur en chef, aideront à forger le son Nungan.

Au menu de ce nouvel album, le bien nommé FlowerChild: ballades folk mélancoliques, univers onirique et spirituel, riffs psyché-rock floydiens et refrains pop façon Fab Four, entre mélopées soul de la féline Annie et lézardes électriques de Benji.

Flower Power, guitar powder, soit douzes pièces maîtresses tendance hymnes à l’Amour : de la vie, celui que l’on porte à une mère, celui de l’Humanité, de la musique tout simplement. Les enfants de la fleur ont grandi.