Romain GRAU (LREM/ La République En Marche!), député de la 1ère circonscription des P-O,  est allé à la rencontre de l’Enseignement Agricole Public dans notre département. Accompagné du maire de Thèza, Jean-Jacques THIEBAULT, il s’est rendu sur le lycée agricole Frederico Garcia Lorca où il a été accueilli par l’ensemble de l’équipe de direction, dont le directeur Amine THAMI.
L’enseignement agricole dans les P-O comprend cinq établissements, outre les lycées agricoles de Théza et de Rivesaltes, il y a également le Centre de Formation des Apprentis Agricole, le Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole et le Domaine du Lycée qui, sur deux sites, et trente hectares cultivés en bio, forment les apprentis, les élèves et les stagiaires sur une exploitation agricole, s’étant doté en 2004 d’un caveau de dégustation vente.
Le député a dans un premier temps visité les structures du lycée agricole où il a pu échanger avec les enseignants et les élèves.
Par la suite, lors d’un moment de convivialité il aura pu échanger avec chaque directeur d’établissement sur leurs problématiques spécifiques. Ce moment lui a permis de mieux apprécier tout le champ de compétence de l’enseignement agricole et la volonté des équipes encadrantes et des professeurs de partager leur goût de l’enseignement et de l’agriculture. Il a apprécié “la volonté d’ouverture sur le monde de cet enseignement qui permet à de nombreux jeunes d’acquérir une expérience à l’étranger au travers de stages au Chili, au Panama, en Suède, en Espagne, en Inde et dans de nombreux autres pays”.
L’enseignement agricole est un acteur économique essentiel pour notre territoire, car ils participent au développement et à l’innovation agricole. Au sein des groupements d’intérêt économique et environnemental ils accompagnent les agriculteurs dans leurs pratiques vers l’agro-écologie.
Le Domaine du Lycée avec son alambic et sa production de plantes sèches, lui permet d’être le premier exploitant dans ce domaine d’activité et de distiller une quantité importante d’huiles essentielles démontrant que cette culture est un modèle économique viable.