La résistance des citoyens français anciens combattants harkis et leurs enfants dans les fondamentaux.

Le 30 mars 2018, les représentants d’associations de la composante de citoyents franais anciens combattants harkis et leurs enfants de la région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée ont été conviés à la réunion qui s’est déroulée à la salle du Pôle santé travail, à Perpignan, à la demande du préfet CEAUX en mission et président du groupe de travail harkis et leurs enfants, siègeant la commission à la demande du président de la République Emmanuel MACRON.
On répondu présent  les représentants des département : Tarn, Ariège, Aude, Hérault, Gard, Haute-Garonne les Pyrénées-Orientales.

 

Le débat à été ouvert avec plusieurs prises de parole sur le contentieux historique et tragique des harkis et de leurs enfants, et surtout de leurs attentes.
Abdallah KROUK et Nasser NOUALI, auto-proclamés “Groupe de travail de transition impartial et exemplaire à l’article 1er de la constitution du 4 octobre 1958 de la Vème république pour la justice de la composante citoyenneté français anciens combattants harkis et leurs enfants”, demandent “un moratoire suite à la commission du groupe de travail du préfet CEAUX, en réponse aux suspicions et ambiguïtés de non déclaration de celle-ci au journal officiel et des rumeurs des présidents d’associations des tonneaux danaïdes qui la composent et qui aurait perçu de fortes subventions qui pourraient soupçonner un conflit d’intérêt”.

Ils ont ajouté : “Notre groupe de travail de transition à l’article 1er de la constitution du 4 octobre 1958 se situe dans l’objectivité d’une justice et d’une reconnaissance transparente pour remettre tout aux normes. La légalité de cette volonté est de résoudre le contentieux et de rendre tous les droits fondamentaux aux citoyens français, anciens combattants harkis et leurs enfants dont ils ont été privés”.