Suite à l’écho paru dans le magazine Le Point, et dont nous avons reptroduit dans nos colonnes l’information concernant “l’interdiction pour les anti-corrida de manifester aux abords des arènes lors de la féria, tant à Céret qu’à Millas”, Olivier Amiel, Délégué régional du MRC et conseiller municipal d’opposition de la Ville de Perpignan, communique :

“Pure intox ! C’est faux. Ce n’est pour le moment qu’un souhait (un voeu pieux) de l’association des villes taurines de France, non confirmé par le ministère de l’Intérieur. De toutes manières, de tels arrêtés qu’ils soient portés par une commune ou plus tard par un préfet pourraient toujours très bien être attaqués et avec succès devant le juge administratif (comme nous l’avons fait à Millas et Céret), en raison d’un non respect des libertés individuelles (libertés de manifestation, de réunion et de circulation), c’est ce que l’on appelle jusqu’à preuve du contraire l’Etat de droit…”.