Un sexagénaire du Soler avait entrepris récemment de réhabiliter le mur de clôture de sa résidence principale…
Alors qu’il maçonnait trois parpaings en façade sur la rue, à l’intérieur de sa maison le téléphone sonne. Le Solérien quitte alors le trottoir pour aller décrocher chez lui. Cinq minutes plus loin, il revient à ses travaux et là il constate que sa brouette de terrassier a disparu.
Ni une ni deux, personne en vue à l’horizon, notre sexagénaire décide d’entreprendre un rapide parcours à travers le lotissement. Bien lui en a pris, car il tombe illico sur un septuagénaire s’activant à pousser sa brouette. Le sexagénaire interpelle le septuagénaire : “Monsieur, c’est ma brouette !”. L’emprunteur lui répond : “Peut-être, mais moi on m’a volé la mienne la semaine dernière… Donc je me suis servi à mon tour !”. Le sexagénaire : “On ne va pas se battrre à nos âges pour une brouette, surtout d’occasion, mais je la reprends puisqu’elle m’appartient”.
Le septuagénaire a fini par abandonner la partie. Il est reparti en quête d’une autre brouette !