En cette après-midi de samedi 27 janvier, dès 14h, ceux qui ont à cÅ“ur d’aider la recherche contre le cancer, s’étaient donné rendez-vous à la salle Arago. Un succès jamais démenti, qui montre que la générosité n’est pas un vain mot.

Nous ne saluerons jamais assez les bénévoles de l’association, qui donnent de leur temps pour aider à soulager la peine des autres lorsque les affres de la maladie frappent à la porte.

Un message d’espoir

Arlette Torreilles, la responsable pour le secteur d’Estagel devait, en préambule, remercier tous ceux qui offrent les nombreux cadeaux. C’est grâce à eux que la rifle, tous les ans, est un véritable succès financier. (cette année, 4014,50 euros entièrement reversés). Elle devait remercier également les participants avant que le maire, Roger Ferrer, ne le fasse à son tour. Bien évidemment, Arlette devait demander quelques instants de silence pour les victimes du drame de Millas, dont la pensée est encore présente dans toutes les têtes.
Une lettre du docteur Capdet, président départemental de la ligue, lue à l’assemblée, devait témoigner de la reconnaissance apportée à la commune et aux habitants d’Estagel, pour leur solidarité sans faille depuis des années. Qu’ils en soit en notre nom aussi, largement remerciés.
C’était au tour du président de s’exprimer. Il devait le faire tout d’abord en s’excusant de ne pas avoir été présent l’an passé. Comme il devait le dire, son esprit distrait lui a fait faire une confusion de date. A la suite de cet intermède plaisant qui devait soulever de gentils sourires, il devait souligner que l’année 2018 sera celle de la naissance de la ligue contre le cancer. Cent ans sont passés. Si cent ans en arrière, seulement 2-3% de malades pouvaient attendre la guérison, aujourd’hui, ce sont 68% qui peuvent espérer. Incontestablement, la science est en pleine progression pour la recherche. Donc, les initiatives prises pour aider cette dernière sont comme une source d’eau pure, qui permet aux malades de conserver le moral indispensable pour aller vers la guérison.
Rapidement, il devait laisser la place à Louisette pour tirer les boulettes. La partis de loto pouvait commencer.

Joseph JOURDA.