Scène surréalise (et théâtrale) des autorités chinoises rendant hommage, à Pékin, aux quelques 3 000 et des poussières victimes chinoises du coronavirus, surtout quand on découvre qu’à l’arrivée ce chiffre sera vraisemblablement dix fois supérieur, n’en déplaise aux journalistes français (captures d’écran France2 télévision)

 

Le président américain Donald Trump s’en est de nouveau pris à la Chine, hier vendredi 17 avril, en affirmant que le nombre des décès liés au coronavirus dans ce pays était “bien plus élevé” que ne l’ont dit les autorités, alors que le bilan mondial de la pandémie a dépassé les 150 000 morts. Pékin, qui a revu à la hausse le chiffre de ses victimes, a toutefois démenti toute dissimulation.

 

 

Cette nouvelle charge du président des Etats-Unis d’Amérique corrobore ce que la rédaction de ouillade.eu a toujours affirmé depuis le début de la crise sanitaire liée au COVID-19 (coronavirus).

A l’évidence, la presse française qui depuis le début du coronavirus nous ment et nous désinforme en nous servant quotidiennement la propagande du régime communiste chinois, aura des compte à rendre à la population à la fin du COVID-19 et devra faire son mea-culpa.

Selon la chaîne France 24 : “Depuis son apparition fin 2019 à Wuhan, métropole du centre du pays, le coronavirus a infecté au moins 2,2 millions de personnes à travers le monde, conduit au confinement inédit d’au moins 4,5 milliards de personnes et mis au chômage partiel ou total des dizaines de millions d’entre elles, dont 22 millions rien qu’aux États-Unis.

“Il n’y a jamais eu aucune dissimulation et nous n’autoriserons jamais aucune dissimulation”, a assuré un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, vantant une “réponse (…) irréprochable” de son pays à cette crise sanitaire.

Ce responsable a simplement reconnu “des retards” et “des omissions” dans l’enregistrement des décès. La mairie de Wuhan avait auparavant créé, vendredi, la surprise en annonçant 1 290 morts supplémentaires, des victimes en fait décédées chez elles”.