“Quand les élections font perdre la boule….
Les chiens sont lâchés !

Le poète l’a chanté « Non les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux ! »

 

La gauche sectaire et rigide a repris le refrain à son compte. La meute bave et braille, les chiens de garde s’acharnent sur tout ce qui dépasse. Facebook est leur terrain de jeu sans risque, pour les Francis, Michelle, Jean Jacques, Catherine, Philippe et autres qui peuvent attaquer vie privée et publique grassement et vulgairement en se tapant sur le ventre de satisfaction béate. L’exemple vient de « haut », BFM et consort attaquent en dessous de la ceinture… et tout ça vous a comme un relent de Bidochon sur canapé ! Pour un peu on s’en ferait péter la sous ventrière….
N’oublions pas que le peuple de gauche est à géométrie variable, et que pour une certaine composante il se résume à l’élimination de l‘autre partie…. Et vice versa. L’amour d’hier peut devenir le monstre de demain grâce à une démocratie au sens totalement perverti. Une divergence de stratégie et tu deviens l’homme ou la femme à abattre et s’ils trouvent une corde à leur goût, ils te la passeront au cou.

François RUFFIN a senti le vent froid du goulag et le sifflement de la guillotine quand il a osé sortir de l’ornière habituelle, ils ont déboulonné l’idole ! Pour Staline ils avaient attendu qu’il soit mort, pour toi François, fais gaffe, tu es devenu l’ennemi du peuple, l’ogre des gentils bien pensants gauchos…pauvre de toi !
Quoiqu’il en soit, faisons fi de la meute et rejoignons l’ami Georges quand il chantait « Mourons pour des idées d’accord, mais de mort lente mais de mort lente. »”.

 

Michèle MARTY, En Commun 66