-“Protégez-moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge

C’est une évidence, les hommages au Général De Gaulle ne se traduisent pas dans la politique nationale et même départementale. Il semble que la montée de l’audience de Nicolas Dupont-Aignan provoque de la gène et, du coup, ravive la « politique des boules puantes » que combattait en son temps le général.
En effet un parti qui se veut souverainiste a décidé une attaque en règle contre Debout La France. Après avoir débauché quelques cadres en leur promettant un avenir radieux, jusque là rien de bien grave, voilà que s’en suit une attaque en règle dans les médias. Et bien sûr, localement certains anciens de notre parti, qu’ils ont parait-il défendu, s’octroient le droit de dénigrer au nom de leur rancœur et de relayer tout ce qui peut circuler.
Le journal Le Figaro qui annonce des chiffres fantaisistes de départs de cadres, soit-disant importants ; puis c’est au tour du quotidien Libération de se permettre des attaques personnelles sur Nicolas Dupont-Aignan ; il semble évident que nous créons une gène et qu’il faut mettre le doute sur cet homme qui monte dans les sondages et qui propose des solutions ne plaisant pas au petit monde en place. Une finale Macron – Le Pen ne plait qu’à eux-mêmes, mais ils feront tout pour que cela se reproduise. Espérons que tout ça n’aura pas de conséquences sur les départementales, car les seuls à déboucher le champagne pourraient être une fois de plus, la performante gauche locale.
En attendant, il faut rassurer ceux que cette campagne de dénigrement aurait pu ébranler. Nicolas est en forme, il continue, et demande à Libération un droit de réponse. Dans le cas contraire, une plainte pour diffamation suivra. Il possède en effet tous les justificatifs pour étayer sa réponse.
Passez donc de bonnes fêtes de fin d’année et comptez sur nous pour l’année qui vient”.

Henry-Jean Puig
Responsable départemental pour Debout La France des Pyrénées-Orientales