“Par communiqué en date du 19 octobre 2017 paru ici, sur le site ouillade.eu, l’adjoint au maire Olivier AMIEL affirmait que l’Espagne n’était pas redevenue un régime franquiste.

Faire emprisonner les membres du gouvernement catalan par une juge chargée du terrorisme à Madrid est pour toi une expression du droit commun en démocratie !

Qu’un membre du parti Parti Populaire (PP) et proche de Mariano RAJOY déclare que Carles PUIGDEMONT, président destitué de la Catalogne, pourrait finir comme son prédécesseur Lluis COMPANYS livré par les nazis aux franquistes, puis fusillé dans les fossés de la citadelle de Montjuic, est encore pour toi la définition des démocrates du PP au pouvoir à Madrid !

Si pour toi l’Espagne est un état de droit avec un parti au pouvoir le PP englué dans des affaires de corruption qui toucheraient également le Premier ministre Mariano RAJOY, nous verrons si la justice espagnole sera aussi intraitable avec le PP qu’envers les démocrates catalans que tu as déjà condamnés. Et le même Mariano RAJOY qui gouverne grâce au soutien du PSOE Espagnol.
Le 4 décembre 2017, tu réitères tes propos non pas à l’encontre des Catalans mais des Corses suite aux élections régionales avec la majorité obtenue par les nationalistes Corses. Tu affirmes cher ami, que ce n’est que le fruit de ce processus législatif et constitutionnel obtenu par la pression et la menace armée des terroristes.

 

Rien que cela ! Dû en grande partie aux « idiots utiles » ROCARD, JOSPIN et HOLLANDE le plus souvent des socialistes. N’étais-tu pas membre dirigeant du parti le MDC, classé à gauche de Jean-Pierre CHEVèNEMENT pendant des années ?

Mon cher Olivier, tu as un réel problème avec le vote des peuples obtenu au suffrage universel, comme le référendum catalan maté dans la violence policière espagnole, ou le résultat démocratique de dimanche aux élections régionales corses ! Tu devrais accompagner le nouveau « mentor » de la classe politique française, Manuel VALLS, en Catalogne faire campagne pour le PP de Mariano RAJOY contre les indépendantistes catalans ou en Corse avec Bernard Henri LéVY, l’ancien conseiller spécial de Nicolas SARKOZY…”.
Georges BOTET.