Communiqué de presse.

 

“Le 28 juillet 2018, Monsieur Emile RAMIS, membre de l’association ” Frêne 66 “, vous faisait parvenir un article pour dénoncer sa stupéfaction quant au fait que la municipalité ait fait procéder à l’abattage des mélias de la rue Suzanne Lenglen.
Celui-ci, outre le fait de souligner qu’il s’agissait d’un désastre écologique (sic), a affirmé que “le premier magistrat du village avait cédé pour des raisons plus ou moins partisanes ou d’intérêts particuliers”.
Cette allégation est gratuite, infondée et un rapide rappel des faits fera comprendre que la décision de couper ces mélias n’est issue que du principe démocratique fondamental d’application de la volonté de la majorité.
En effet, à l’occasion d’une réunion du quartier “STADE-SENORIALES” qui s’est tenue le mardi 17 octobre 2017, plusieurs habitants du secteur nous ont fait part des désagréments causés par les racines, les feuilles et les fruits des mélias sur les véhicules, les trottoirs, les murs des habitations et les piscines.
Les administrés présents à cette réunion ont alors suggéré que tous les mélias ornant les trottoirs des rues Marcel Cerdan, Suzanne Lenglen, Aimé Giral, soient arrachés afin de faire cesser l’ensemble des désagréments précités.
Avant de prendre cette décision, monsieur le maire (François RALLO, NDLR) a décidé d’effectuer un sondage auprès des riverains afin de s’assurer que la majorité des habitants de ces trois rues souhaitaient l’enlèvement de ces arbres.
Il ressort de ce sondage que près de 70 % des administrés de ces trois rues ayant répondu étaient favorables à l’abattage des mélias.
En ce qui concerne, les administrés de la rue Suzanne Lenglen, en particulier : 22 sur 30 ont répondu au sondage de la manière suivante : 1 personne souhaitait l’abattage d’un mélia sur deux, 7 étaient contre cet abattage et 14 étaient favorables à cette coupe.
Donc, l’abattage des mélias ne résulte, en aucun cas, de raisons “plus ou moins partisanes ou d’intérêts particuliers” mais bel et bien de l’application du principe démocratique de la majorité.
Dans cette affaire, la municipalité n’a fait que se conformer à la volonté du plus grand nombre et demeure toujours attentive aux doléances des administrés qu’il s’agisse de demandes d’abattage d’arbres créant des nuisances, ou bien encore, lorsqu’il est question de planter certaines essences lors de l’aménagement de nos espaces publics que nous tenons, le plus possible, à conserver arboré”.