Robert Vila (UMP), maire de Saint-Estève, n’y va pas avec le dos de la cuillère dans son dernier Bulletin municipal, à propos des conséquences de “l’affaire Boîtaclous”  et du rôle de l’ancien maire et actuel conseiller général, Elie Puigmal (PS), dans ce dossier : “l’ardoise s’élève déjà à 36 356,80 euros pour les Stéphanois”, s’inquiète Robert Vila dans une tribune (cliquer sur le lien ci-dessous)…

L’actuel Premier magistrat interpelle également directement la présidente de l’Assemblée départementale, Hermeline Malherbe (PS), au sujet du “manque de moyens flagrant pour le collège Le Riberal : Que fait le Conseil général ? Lors du dernier conseil d’administration du collège Le Riberal, conseil d’administration dont est membre la Ville de Saint-Estève, a à nouveau été pointé du doigt le manque de moyens alloués par le Conseil général en faveur de cet établissement et des collégiens qui y sont accueillis (plus de 900 élèves pour un collège d’une capacité de 600 !). Il est à déplorer l’absence de vestiaires au stade du collège, les collégiens sont contraints à se changer dehors ou dans les toilettes !…”.

De plus, Robert Vila annonce que “la ville de Saint-Estève perd une subvention en annuités du Conseil général pour la réalisation du réfectoire Léo Lagrange : 172 995 euros ! (…). Cette subvention appelée “aide aux projets structurants” avait été accordée par délibération en date du 6 juillet 2009, par le Conseil général à l’ancien maire, pour le projet de construction du restaurant scolaire jouxtant le centre de loisirs Léo Lagrange. Cette aide départementale est une aide au financement des investissements réalisés par le biais d’un emprunt. La délibération du Conseil général ouvre une décision de principe qui doit donc être corrobée par la production effective du contrat de prêt de la commune et la signature d’une convention (…)”.

infos-mairie-200