Le dernier dimanche du mois de juin, le GESA (Groupe d’Etudes Sociétales et Actions), présidé par l’ancienne députée Renée Soum (PS), a réuni ses amis à l’Espace Sant-Jordi, à Pia.

C’est au cours d’un repas champêtre qui a rassemblé environ 150 personnes que l’association a présenté son bilan, avec comme invités d’honneur Christrian Bourquin (PS), président de la Région Languedoc-Roussillon et vice-président du Conseil général des Pyrénées-Orientales, ainsi que Mmes Hermeline Malherbe (PS), présidente du Conseil général des P-O, Toussainte Calabrèze et Ségolène Neuville, conseillères générales.

Au cours de son allocution, Mme Renée Soum a remercié le maire de Pia, Guy Parès, et son conseil municipal “pour leur fidèle soutien”, tout en les excusant de leur absence car “tous partis supporter l’équipe de rugby Pia XV”, à l’image du conseiller général du canton de Rivesaltes, Jean-Jacques Lopez (PS). Bien entendu, très sportivement Mme Soum leur a souhaité “une belle et large victoire”…

Puis l’ancienne députée a fait le point sur le fonctionnement du GESA tout au long de la saison 2010-2011, avec, entre autre, la conférence d’André Laignel, ou encore la plantation des arbres de la laïcité, ou la soirée-cinéma à Cabestany, le soutien aux bénévoles de l’association du don du sang, etc.-etc.

La présidente du GESA a annoncé la venuze prochaine de Michel Vauzelle (PS), ancien ministre de la Justice et Garde des Sceaux, président de la Région PACA (Provence Alpes Côte d’Azur) et député.

A son tour, Mme Hermeline Malherbe a rappelé “le rôle essentiel du Conseil général autour des collectivités locales et territoriales”, se félicitant au passage “de l’importance du tissu associatif sur le sol roussillonnais, avec une pensée particulière pour le GESA, cette association qui oeuvre pour la formation citoyenne et met la solidarité en action”.

Christian Bourquin a conclu en évoquant “le développement régional qui s’affirme autour de la marque Sud-de-France”. Il a insisté sur “l’unité des socialistes catalans qui seule permet de gagner les élections locales (…)”. Une unité plus que jamais indispensable, notamment à la veille du rendez-vous des sénatoriales afin qu’élu sénateur il puisse porter l’accent catalan de la République française au Palais du Luxembourg.