Me Jacqueline Amiel-Donat, tête de liste PS du Groupe Nouvelle Union avec la gauche sur les bancs du Conseil municipal de Perpignan, nous prie d’insérer :

“Toujours absente du département (ainsi que prévu de longue date), je viens d’apprendre que Christian Bourquin a poussé la mascarade jusqu’au bout le 25 juin dernier, en présentant lui-même devant les militants présents, ma candidature et mon programme ( ?), sans même m’avoir interrogée préalablement à cet égard ou m’avoir demandé de lui fournir des éléments, et en faisant taire – avec la « douceur » qui le caractérise – certains militants mieux habilités que lui pour parler du travail municipal que notre Groupe a réalisé et de nos propositions …

 

En même temps qu’il assénait les pires choses à mon encontre, il annonçait que des bulletins de vote à mon nom seraient mis à disposition pour le 28 juin (…)

Ils sont tellement sûrs du résultat de leur forfaiture qu’ils n’ont même pas pris la peine de faire semblant de me demander de désigner un « contrôleur » pour ce scrutin interne !!!

 

Je demande donc à tous les militants électeurs de Perpignan, susceptibles de ne pas « se soumettre » aux diktats des actuels dirigeants du PS66, de ne pas participer à cette farce méprisante pour la démocratie : ne pas y aller du tout, ne pas émarger du tout, ne pas se déplacer même du tout.

Je rappelle que conformément à nos statuts, la désignation de la tête de liste socialiste pour les élections municipales d’une ville de plus de 20 000 habitants, doit être validée (et non pas simplement entérinée) par la Convention nationale dont la date n’a pas changé : le 7 décembre 2013. Entre temps, nous nous serons expliqués devant la Commission Nationale des Conflits”.