Jacques Cresta (PS), député des P-O.

Hier, mercredi à 17 h Jacques Cresta (PS), député de la 1ère circonscription des P-O et vice-président de la Région Languedoc-Roussillon, avait rendez-vous, place Vendôme à Paris, avec le cabinet de la garde des Sceaux pour faire le point sur l’avenir du palais de justice.

 

Les services de la ministre ont pu informer le député sur l’avancée des deux projets, celui de la construction de la Cité Judicaire à Saint-Assiscle ainsi que l’extension dans les locaux du Palais Consulaire. Les études sont menées parallèlement afin de garder comme objectif essentiel : doter Perpignan 2017 d’un palais de justice permettant de rendre la justice dans de bonnes conditions conformément aux engagements du gouvernement.

Le député a rappelé que son choix premier, comme celui des commerçants et des professionnels, était que le tribunal puisse rester en centre ville mais il est conscient qu’au vu des contraintes budgétaires le choix se fera à la lumière des études de faisabilité et d’opportunité qui devraient prochainement rendre leurs verdicts.

Les travaux de mise en sécurité du tribunal, consistant en la création d’un sas sécurisé pour permettre d’assurer la sécurité des forces de l’ordre et des prévenus  ont également été évoqués. Le ministère reste toujours dans l’attente de l’accord de la ville de Perpignan pour la mise à disposition de 4 à 5 places de stationnements sur la dalle Arago pour lancer les travaux.

Après plus d’une heure de rencontre il a été convenu entre les participants de se revoir régulièrement afin de se tenir informé de l’avancée de ce dossier.

Jacques Cresta reste particulièrement attentif à l’évolution de ce dossier dans l’intérêt des Perpignanais, des justiciables et du personnel du ministère de la Justice. Il a également rappelé la nécessité d’associer à ce projet l’ensemble des partenaires : l’ordre des avocats, le président du TGI (tribunal de grande instance), le procureur de la République, le directeur des greffes sans oublier les associations de commerçants, contrairement aux élus de la majorité précédente qui avaient unanimement imposé le choix et le projet de Saint-Assiscle sans concertation.