Louis Aliot (RN), député de la 2e circonscription des P-O, conseiller municipal et communautaire d’Opposition de Perpignan, candidat à l’élection municipale, communique :

 

“Les masques tombent. Les postures d’opposants radicaux se dissipent. La triste réalité politique du pays catalan apparait au grand jour. La collusion des uns avec les autres apparait au grand jour. L’intérêt général disparait derrière les conciliabules entre vrais coquins qui se repassent le mistigri des affaires locales à l’abri des regards et des électeurs depuis plus de 40 ans.

Je ne tomberai pas dans le panneau de la provocation d’un maire fatigué, installé sur les certitudes de son siège éjectable municipal, qui a conduit la ville à un état de décadence avancé, gangréné par l’insécurité, la misère sociale et le clientélisme.

Faut tourner une page. Les conditions du renouveau sont là. Les électeurs perpignanais seront les seuls acteurs de ce changement.

La seule question : continuer avec un vieux système et un maire qui a totalisé moins de 18% au premier tour, élu de la ville depuis 1989, ou changer d’équipe pour changer de politique avec courage, abnégation, rigueur et ouverture d’esprit ?

Le sectarisme n’a pas sa place dans les affaires publiques lorsqu’il s’agit de défendre l’intérêt général. Car le seul véritable enjeu est là. Tout le reste n’est que mauvaise littérature et accusations gratuites.

Je regrette que les candidats qui se retirent ou qui s’apprêtent à se retirer aient menti à ce point aux électeurs après avoir insulté, diffamé et critiqué un candidat-maire qu’ils méprisent. Comment admettre d’avoir mené une campagne rageuse contre JM Pujol, pour ensuite expliquer qu’il faut voter pour lui au nom des bons sentiments…?

Les Perpignanais n’en veulent plus. Les électeurs sont fatigués d’être pris pour des imbéciles, car les résultats économiques, sociaux et humains désastreux sont là.

Leur front républicain est une véritable escroquerie qui permet à un système failli et corrompu de se maintenir en place. Dans ce vote, il n’y a ni droite, ni gauche, mais la seule volonté de faire de Perpignan une cité heureuse, sure et prospère.

Au travail. Le grand changement pointe à l’horizon…”.