C’est en présence d’une centaine de personnes, que le maire Jean-Marc Pujol (UMP), candidat à sa propre succession aux prochaines élections municipales, a  inauguré, hier matin, sa permanence du quartier Sud, près du Moulin-à-Vent.

Il a justifié l’installation de cette permanence «au plus près des Perpignanais”, que “le symbole que la proximité est un enjeu prioritaire de notre équipe. Etre à l’écoute pour agir au plus près des préoccupations des habitants. Mon ambition, c’est construire ensemble un Perpignan pour tous où tout le monde trouve sa place (…) ».

Puis il s’est lancé sur le terrain politique en fustigeant “la politique catastrophique de la nomenklatura socialiste au pouvoir partout et pour qui le problème n’est pas le chômage, mais le magazine Closer et les photos à la plage de Valérie Trierweiler (…). Pour ce gouvernement, les riches à taxer, ce sont tous les Français victimes du matraquage fiscal. Leurs tribulations amènent le pays à la ruine (…)”.

Louis Aliot (FN), n’a pas été en reste et les oreilles ont dû lui souffler : Il se fait passer pour un bon garçon, mais que propose-t-il pour Perpignan ? Rien hormis jeter des anathèmes et théories fumeuses (…)”.