Jacques Cresta (PS), député-candidat aux prochaines élections municipales, communique :

“Je prends acte de la décision de Jean-Paul Alduy. Mais ce n’est qu’une demie surprise tant cette décision était prévisible et attendue dans son propre camp. Il faut dire que Jean-Marc Pujol par ses prises de position et ses décisions a fait ce qu’il fallait pour le pousser à “descendre de l’estrade” comme il dit. Aujourd’hui Pujol est comptable de ce bilan que les Perpignanais jugeront bientôt, avec une question : Perpignan est elle vraiment une ville du 21 siècle ?

Maintenant pour Jean-Marc Pujol,  c’est l’heure de vérité, celle des électeurs. Ils nous diront s’ils veulent que cette ville continue d’être tenue par la même droite usée et divisée, ou s’ils veulent d’une autre Perpignan, apaisée et soucieuse de son avenir”.