“Moulin à bancs : Aux grands maux les grands remèdes !”

Sous ce titre, Clotilde Font, colistière de Louis Aliot (FN) dans l’équipe Perpignan Ensemble, nous prie d’insérer :

Paul Alduy a créé la ville nouvelle du Moulin-à-Vent  qui fait encore référence aujourd’hui.

A l’origine des bancs publics étaient  en place partout.

Jeunes et vieux en profitaient en bonne intelligence.

Malheureusement, depuis quelques années la situation de notre ville s’est considérablement dégradée et nombre de bancs (…) ont été supprimés et pour cause…

Les personnes  habitants à proximité des bancs sont victimes de bon nombre de nuisances tard le soir et parfois une bonne partie de la nuit.

Des hordes  de « sauvageons »  désœuvrés accaparent les bancs.

Les riverains  fatigués par les nuits sans  sommeil découvrent au petit matin les déchets  de toutes sortes jonchant le sol (cannettes vides, résidus de sandwich, seringues, mégots douteux etc.).

Naturellement les citoyens excédés se tournent vers la mairie.

La municipalité opte pour une solution radicale : Les bancs sources de  problèmes sont  alors enlevés.

Est-ce vraiment la seule solution ?

Nous suggérons  de donner à la police municipale les moyens de faire régner l’ordre.

Des rondes de nuits fréquentes et régulières seraient à n’en pas douter dissuasives

Cela permettrait alors à la population de profiter pleinement de notre belle ville et de son climat exceptionnel.

Par ailleurs, la cause n’étant pas traitée mais déplacée, les causeurs de troubles se replient sous les porches, investissent les halls d’immeubles  et la fête continue.

Si la vie est belle pour les perturbateurs, notre paradis devient un enfer !”.

Â