Par sa présence, Fernand Siré a souhaité marquer son soutien “à la communauté éducative qui est contrainte de passer à quatre jours et demi de classe sans aucune concertation”. Il dénonce également “le passage en force du ministère face aux municipalités opposées à cette réforme dont le surcoût, imposé aux collectivités, n’est pas financé à sa hauteur réelle par l’Etat (…)”.
Enfin, il ressort des observations des associations de parents d’élèves “que ce changement a de sérieuses répercussions sur la fatigue de leurs enfants et que l’ancien système était mieux adapté à leur rythme biologique”.