“Les socialistes divisés sur le cas Bourquin”

Louis Aliot (FN), conseiller régional des P-O.

Sous ce titre, Louis Aliot, vice-président du Front national (FN), conseiller régional des P-O et tête de liste Perpignan Ensemble (Rassemblement Bleu Marine) aux prochaines élections municipales, nous prie d’insérer :

“En se vantant d’avoir contribué au renflouement des caisses de l’UMP, Bourquin vient une nouvelle fois de montrer un visage d’arrogance et de mépris tout en continuant à diviser le parti socialiste, ce qui n’est pas une mauvaise chose.

Harlem Désir, dans un communiqué, vient de désavouer l’encombrant potentat local et de rappeler toute la haine typiquement socialiste qui caractérise ce parti en faillite idéologique.

Entre les deux hommes, mis à part des condamnations, ils ne partagent rien. Il faut dire que le bourquinisme local se passe assez facilement des consignes et règles nationales comme jadis Georges Frêche. Reste que n’est pas Frêche qui veut et surtout pas Bourquin. Pas de panache, moins de culture et un autoritarisme étroit qui s’exprime dans tous les domaines et qui agace jusqu’à Solferino. De la morgue, de la suffisance mais des dossiers locaux en berne et une instrumentalisation de ses amis de Perpignan qui en dit long sur le bonhomme.

Ses élucubrations sur le caractère républicain du Front National prêtent à sourire et son aide à l’UMP et le label républicain qui lui décerne nous convient très bien. Si monsieur Bourquin a besoin de l’UMP, c’est que peut-être ils ont des intérêts réciproques. Avec certains Umpistes ou UDistes il pourra toujours s’arranger.

Mais le bilan est là ! Clientélisme, communautarisme, chômage, insécurité, misère sociale, économie en berne, corruptionla liste n’est pas exhaustive !

Il pourra utiliser un langage outrancier contre nous et vociférer comme à son habitude en prenant son opposition régionale de haut. Il méprise l’opposition et dirige l’assemblée d’une manière autocratique d’un autre âge. Qu’il balaye donc devant sa porte ! Les régionales arriveront en leur temps”.