Communiqué de presse

 

Me Louis Aliot, vice-président du FN, conseiller régional des P-O, tête de liste Perpignan Ensemble pour les prochaines municipales (mars 2014), nous prie d’insérer :

“Le conseil municipal de Perpignan s’est réuni hier soir, notamment pour soumettre au vote le compte administratif 2012. Ce document comptable, retraçant l’ensemble des opérations financières de la ville pour l’année écoulée, appelle forcément des commentaires ou plutôt des interrogations légitimes.

Bien que la majorité municipale se gausse de la bonne tenue des comptes de la ville, par une diminution de la dette ou le maintien des taux de fiscalité de l’année précédente, il est facile de constater que le discours bien rôdé du Premier adjoint Jean-Paul Alduy, chargé de présenter la délibération, n’est que pur marketing électoral.

En analysant en parallèle le budget 2013, on constate une nette augmentation des postes de dépenses dédiés à l’aide aux associations ou aux travaux de proximité. N’importe quelle personne bien informée des us et coutumes de la vie politique, comprendra que nous sommes dans une année pré-électorale.

En effet, quand pour équilibrer les comptes, on doit vendre les bijoux de famille, ou compter sur une dotation de l’Etat calquée sur une augmentation de la population uniquement due, tout le monde le sait, au taux de natalité plus fertile dans les Pyrénées Orientales qu’ailleurs, on est en droit de se poser des questions.

Dans un article récent du magazine Le Point on y apprend, sans surprise d’ailleurs, que Perpignan finit bonne dernière au classement des villes de plus de 100 000 habitants en matière de dette par habitant.

Ce ratio a été calculé en additionnant la dette de la ville de Perpignan à celle de l’Agglomération, ce qui fait qu’au final c’est toujours le contribuable Perpignanais qui paye la mégalomanie (Théâtre de l’Archipel, Centre Del Mon, Gare TGV sans TGV…) d’une équipe usée par le pouvoir, à la tête des deux institutions. Dormez tranquille, ce sont toujours les mêmes qui paieront l’addition.

Dans un an, une alternative est possible avec Louis Aliot et la liste « Perpignan Ensemble », qui n’aura de cesse de rendre le pouvoir de décision aux Perpignanais, esclaves de gestionnaires plus préoccupés par leur intérêt particulier que par l’intérêt général”.