« Non, le mur est tombé !

Dans l’édition locale du journal L’Indépendant datée du dimanche 22 avril 2018, en page 22, un communiqué signé du Parti Communiste des P-O et intitulé « Droit dans le mur ! » s’appuie sur un rapport de la Chambre Régionale des Comptes (CRC) concernant la gestion de Perpignan Méditerranée Métropole. Ce communiqué a le mérite de nous rappeler que l’idéologie des élus communistes demeure fervente même si elle n’est plus partagée. Je ne sais pas si les « dogmes libéraux ont fait du mal aux populations ». En revanche, tout le monde a pu constater que les dogmes communistes ont ruiné tous les pays qui les ont appliqués et provoqué la mort de 150 millions d’innocents.

Contrairement à ce qu’affirme le PCF, il y a de plus en plus de services publics et d’investissements à Perpignan ainsi qu’à la Communauté Urbaine, malgré le sectarisme de la majorité socialo-communiste du Conseil Départemental qui n’aide en rien ces deux collectivités territoriales.

Le PCF’66 pointe l’augmentation de la taxe sur le foncier bâti qui passe de 1 à 2% en sept ans et qui coûtera 22€ par foyer fiscal, en omettant de préciser que les élus communistes qui siègent au Département (ex-Conseil Général) ont fait grimper cette même taxe sur le foncier bâti de 12,41% en 2010 à 20,10% en 2017 ! Pour autant, je n’ai pas souvenir de les avoir entendus protester contre leur gouvernance…

La contractualisation récemment signée avec le Gouvernement d’Edouard Philippe est un signe de liberté et non pas un corset (Le Département a refusé de s’associer à cette démarche, c’est son droit et je le respecte, même s’il s’agit-là d’un choix qui interpelle, qui peut sembler pour le moins surprenant par les temps qui courent). »