Louis ALIOT (FN-RBM), député de la 2ème circonscription des P-O, conseiller municipal et communautaire de Perpignan, nous communique avec prière d’insérer :

 

“En réponse à celui qui voudrait être calife à la place du calife à Perpignan, mais tendance « je tourne avec le vent », la girouette AMIEL, je dirai en toute simplicité que les Perpignanais jugent aux actes et, désolé de vous l’apprendre, ils jugent votre politique à ses fruits : insécurité, communautarisme, chômage, pauvreté, misère sociale, augmentation de la fiscalité et nouvelles taxes locales (via la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole), naufrage du centre ville commerçant… stop ou souhaitez-vous que je rallonge la liste de vos erreurs, renoncements ou même incompétences et trahisons ?

Je ne parade pas dans les journaux locaux car, moi, voyez-vous, je n’ai pas les moyens d’acheter des publicités dans L’Independant aux frais du contribuable.

Contrairement à vos allégations, je suis sur le terrain, près des gens, dans mon rôle d’élu de proximité, et je réponds à toutes les sollicitations de ma ville et de ma circonscription.

Avant-hier, j’étais sur le terrain pour inaugurer une radio à Perpignan, hier au salon de l’Invention au Barcarès (aucun élu de la majorité de PMM d’ailleurs n’était présent… à croire que tout ce qui se fait au Barcarès ne vous intéresse pas !), et aujourd’hui je serai à Lesquerdes. Viendrez M. AMIEL ? Ah oui j’oubliais, Lesquerdes ne vous concerne pas électoralement parlant. Ni Le Barcarès d’ailleurs, visiblement. Je constate. Pourtant, vous savez, il y a des habitants sur ces territoires, certains d’entre eux ont même de la famille qui vit et/ ou travaille, étudie, à Perpignan. Mais c’est vrai, ce n’est pas “vôtre” Perpignan.

Vous feriez bien de donner de l’Espoir à Perpignan plutôt, tel un épicier bouffi de jalousie et d’orgueil, que de lorgner ou de railler l’activité des autres élus que vous ignorez totalement par ailleurs. Avec un autre commentaire : contrairement à Romain GRAU, député de La République En Marche!, que vous avez soutenu et votre ancien patron à la mairie, je n’ai pas quitté mon mandat de conseiller municipal de Perpignan… car je suis attaché à notre ville et lancerai bientôt ma campagne municipale. 

Le jour où vous vous en rendrez compte… ce sera trop tard. Comme d’habitude ! Les électeurs vous auront chassé de la Loge… Ne vous inquiétez pas M. AMIEL, le jour où je serai maire de Perpignan, je serai là. Pas sous les palmiers…

Salutations républicaines !”.