Jean-Paul Alduy (UDI), président de l’Agglo de Perpignan (PMCA) et 1er adjoint de la Ville, nous prie d’insérer :

“La violence de la réaction de M. Louis Aliot (NDLR, conseiller régional FN des P-O et tête de liste Perpignan Ensemble aux prochaines élections municipales) démontre que j’ai frappé « là où ça fait mal » ! Qu’il se rassure je continuerai à démasquer l’arrivisme d’un homme qui n’est présent qu’à la veille des élections et n’a choisi Perpignan que par ambition personnelle. Il n’est pas l’héritier de Pierre Sergent qui, lui, est toujours resté républicain et respectueux de ses adversaires.

Qu’il se renseigne sur les conditions de mon élection en 1993 : ce n’était pas celle d’un fils à papa ! Qu’il se renseigne sur ma carrière de serviteur de l’Etat : je la dois uniquement aux réussites à mes concours. Mon seul héritage c’est l’intelligence du futur et l’humanisme de mon père c’est-à-dire l’écoute de toutes les souffrances, le respect de toutes les sensibilités et la défense exigeante des valeurs de la République”.