Jean-Marc Pujol (UMP), maire de Perpignan, communique :

“Perpignan est la seule ville de France où l’hommage aux harkis est permanent et où les sites rappelant leur sacrifice sont nombreux.

Le rond-point des harkis sur la route d’Argelès, la stèle au cimetière du Haut-Vernet financée majoritairement par la Ville dans le cadre d’une association. Mais aussi et surtout le mur des disparus au couvent Sainte-Claire rappelle le massacre des harkis.

Chaque année, depuis toujours, la mairie de Perpignan honore les harkis les 26 mars, 5 juillet et 5 décembre par la présence du maire de Perpignan et des associations de harkis et de rapatriés devant ces monuments.

Le 25 septembre, depuis toujours, la mairie de Perpignan est présente au camp de Rivesaltes où la Préfecture des Pyrénées-Orientales organise l’hommage national aux harkis, dans le lieu symbolique le plus important des Pyrénées-Orientales.

Comme chaque année, je serai présent. Mon action pour les harkis n’a jamais dépendu des calendriers électoraux car je sais trop combien les harkis ont dû souffrir de la politique”.