Le scoop d’ouillade.eu concernant “l’affaire Deloncle/ Musée de la Casa Pairal” n’a pas fini d’éclabousser la vie locale !

Me Jacqueline Amiel-Donat (PS), conseillère municipale d’Opposition et tête de liste du Groupe Nouvelle Union de la gauche sur les bancs du conseil municipal de la Ville de Perpignan, communique, sous le titre “Comment résister à la tentation ?” :

Comment résister à la tentation ? C’est la question, certainement vite écartée de son esprit, que devait se poser le Conservateur de la Casa Pairal, descendant d’une longue lignée de “l’élite catalaniste” de Perpignan.

Comment résister à la tentation de vendre, ici ou là, quelques oeuvres prélevées dans le patrimoine communal : qui s’en apercevra et puis, avec le temps qu’il leur a consacré, c’est un peu comme si elles lui appartenaient ces statues !

Comment résister à la tentation de rappeler que cet “honorable” conservateur, “honorable et zélé” serviteur des arts et traditions populaires de Catalogne, “norable et zélé” serviteur de Paul puis de Jean-Paul Alduy, était celui-là même qui avait déposé plainte contre moi, m’avait fait mettre en examen le 6 mars 2009, pour diffamation parce que j’avais “osé” dénoncer la fraude.

Comment résister à la tentation de rappeler que l’ancien Procureur de la République, Jean-Pierre Dréno, avait estimé nécessaire de me poursuivre à cet égard, de sorte que la campagne des municipales après l’annulation pour “fraude massive” par le Conseil d’Etat, avait pu être “polluée” par ma mise en examen : c’est que Jacques Deloncle, homme éminemment respectble et digne, avait été “meurtri” par mes propos, qui d’ailleurs ne le visaient pas nommément…

Comment résister à la tentation de rappeler comment la municipalité actuelle l’avait “couvert” dans cette action en lui payant les frais et honoraires d’avocat (sur l’argent public donc), alors que c’était à titre personnel qu’il s’était senti “humilié”…

Comment résister à la tentation de rappeler que dès après les élections de 2009, cet éminent notable “humilié” se désistait de son action, et le Procureur avec… Le mal était fait, Jean-Paul Alduy avait pu me traiter en direct de repris de justice lors d’un débat télévisé…

Comment résister à la tentation de poser LA question : En échange de ses bons et loyaux services, ne lui aurait-on pas “donné” quelques oeuvres chères à son coeur (et à son portefeuille) ?”.