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Verbatim :

“Les générations précédentes ont fait l’Europe, il nous appartient de la réussir.

Pour cela nous devons dire ce que nous voulons. Et ce que nous voulons ce n’est pas l’Europe de la technocratie, c’est l’Europe de l’histoire.

Quand les Grecs anciens parlaient de « l’Europe », c’était en fait leur pays qu’ils évoquaient.

L’Europe c’est donc chez nous, c’est notre civilisation.

L’Europe et la nation sont, ensemble, nos protections, contre la violence et pour notre développement.

Le combat pour y être protégé n’est pas fini. L’histoire n’est pas finie. L’Union européenne n’est pas la fin de l’Europe, elle en est un moyen.

Dans nos vies, dans nos familles, dans notre histoire, tout rappelle ce combat.

J’ai eu l’honneur il y a quelques jours d’assister aux 80 ans de La Retirada en présence du premier ministre espagnol. J’ai été très touché par sa visite chez nous à Collioure et Argelès-sur-Mer.

Mon grand-père était capitaine de l’armée républicaine espagnole il a connu la défaite et l’exode.

Mais même si cette commémoration est nécessaire je ne veux pas retenir seulement ce moment de l’Histoire. Je veux surtout me rappeler que par la suite, mon grand-père et d’autres espagnols en rejoignant l’armée de la France libre ont continué le combat contre le fascisme. Ce sont des républicains espagnols dans la neuvième compagnie de la division Leclerc, la Nueve, qui ont été les premiers à rentrer dans Paris libéré.

C’est ce combat pour un idéal de liberté que je veux surtout retenir et qui doit nous inspirer à nous européens.

L’Europe ce n’est pas la commission européenne, mais une civilisation et des histoires personnelles et une histoire vivante.

Nous voulons rétablir la France et l’Europe dans ce qu’elles ont été. Nous ne sommes pas qu’une destination touristique. Nous ne sommes pas que des consommateurs. Nous sommes un peuple qui se tient debout devant l’Histoire.

Nous sommes les enfants des Grecs, nous appelons « Europe » ce qui est chez nous. Nous savons que la prospérité de notre pays ne passe ni par une folle sortie de l’Europe, ni par une folle soumission aux marchés mondialisés.

François-Xavier Bellamy est candidat pour les élections européennes, il sait les risques d’une Union Européenne qui oublierait de combattre pour la démocratie et pour protéger ses habitants.

C’est pourquoi le 26 mai, je voterai pour la liste menée par François-Xavier Bellamy parce que je ne veux pas que la France et l’Europe se soumettent”.

Olivier AMIEL
Adjoint au maire de Perpignan,
Politique de la Ville – Logement – Renouvellement urbain