Clotilde Ripoull, conseillère municipale d’Opposition de Perpignan, présidente du groupe CdC (Centristes catalans), communique :

“Aucun élu n’a soulevé la question essentielle de l’avenir du centre ville de Perpignan.

En implantant la Cité judiciaire à Saint-Assiscle, non seulement on ne sauvera pas du naufrage la dernère lubie de M. Alduy, le Centre du Monde, mais on accélèrera la désertification du coeur de ville.

Le commerce de proximité en sera la première victime.

Enfin, que fera-t-on de l’actuel palais de justice inoccupé ? Quelle collectivité ou quel acteur privé pourra raisonnablement y investir les millions d’euros nécessaires pour en changer la destination ?

Pour toutes ces raisons, c’est au centre ville que le palais de justice doit rester. C’est une question d’économie et de bon sens”.