Comme disait l’auteur Christoph Martin WIELAND dans son opéra allemand : « La musique est le langage des passions, mais toutes les passions ne gagnent pas à être mises en musique ».
Le Dijé catalan Raphaël DUMAS serait bien inspiré de méditer cette citation, lui qui a bénéficié de nombre de scènes musicales perpignanaises pour s’exprimer, avec le soutien d’amicales complicités municipales, et qui, aujourd’hui, tape sur la Ville, donnant  en tout cas le sentiment dérangeant de cracher dans la soupe en postant sur son Facebook : « À Perpignan, quand tu organises un événement associatif et que comme seule requête à la mairie tu demandes 30 barrières, tu reçois un devis de 3 500 balles »
Ses amitiés avec certain.e.s. élu.e.s. de la Majorité municipale l’autorisent-elles à réagir de la sorte ?… Car “pas très fair-play de la part d’un Dijé qui a souvent été chouchouté par l’actuelle Municipalité, laquelle l’a régulièrement mis en scène en le préférant à d’autres disc-jockeys catalans, quelquefois d’ailleurs plus talentueux que lui, nous confie un élu de Ville.
« La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent » (Pablo CASALS).