Parmi les nombreux commentaires reçus sur “l’affaire Deloncle/ Casa Pairal” – Du nom du conservateur du musée Arts et Traditions catalanes pris la main dans le sac en train de revendre à un antiquaire perpignanais des oeuvres religieuses appartenant à la Ville… –  celui-ci assassin d’un élu de Perpignan :

“Donc, à Perpignan, on a sous-traité la surveillance du patrimoine aux promeneurs. Le département est en pointe : on se croit piéton et on est collaborateur occasionnel du service public. On croit vendre une chaussette, et c’est une urne mobile !”.