Jean-Pierre Athiel, Perpignanais, ancien cadre supérieur chez Lagardère (branche industrielle aéronautique), ardent défenseur d’une stratégie économique, sociale et culturelle de rapprochement avec la Catalogne espagnole et candidat aux prochaines élections législatives sur la 2ème circonscription des Pyrénées-Orientales, a accroché le Premier ministre François Fillon, lors de sa récente venue à Pollestres, où il a animé un meeting avec à ses côtés le ministre Xavier Bertrand, dans le cadre de la campagne présidentielle du président-candidat Nicolas Sarkozy.

En préambule à la remise de son rapport en faveur de l’Economie en général, et de l’Emploi en particulier, Jean-Pierre Athiel a précisé que “lors de la visite à Perpignan de Monsieur Gérard Longuet, ministre de la Défense, j’ai remis ma carte de visite avec deux clins d’œil sur des projets qui nous tiennent à cÅ“ur”.

Et Jean-Pierre Athiel de préciser le contenu de ces projets…

1- Le risque aérien militaire ne vient plus des pays de l’Est, puisque nous fermons des bases aéronautiques militaires (Colmar-Air), mais il peut venir du Bassin méditerranéen.
Projet : installer à l’Aéroport de Perpignan une unité militaire avec des Mirage 2000 ou Rafale.

Si les écologistes se manifestent compte tenu de la proximité de l’Hôpital Joffre, installons des systèmes aériens missiliers (Mistral ou Crotal) dont j’ai dirigé l’industrialisation et la production en série.

Ce projet est connu des présidents de Région Languedoc-Roussillon, Christian Bourquin, de par ailleurs sénateur des P-O et originaire du département, ainsi que du Gouvernement catalan en Espagne (la Generalitat de Catalunya à Barcelone), Arthur Mas. Tous deux m’ont répondu que ce projet relevait des gouvernements français et espagnol.

2- Structure GICNELe but est de former les pompiers européens aux risques NBC afin qu’ils puissent intervenir lors de séismes avec une logistique.

Pour ce faire nous devrions pouvoir disposer du Camp Joffre de Rivesaltes. Une superficie de 70 Ha sur les 250 existants, serait suffisante.
Ce camp relève du ministère de la Défense.

Et Jean-Pierre Athiel de conclure, après avoir détaillé l’ensemble de ces mesures qui auraient déjà reçu un premier écho très favorable dans les milieux économiques concernés : “En espérant que les élus parlementaires locaux me relaieront, veuillez croire, Monsieur le Premier ministre en mes sentiments les meilleurs”.

La démarche de Jean-Pierre Athiel est d’autant plus dans l’air du temps qu’un récent sondage organisé à l’échelon de la nation dans le cadre de l’élection présidentielle, nous apprend que “l’Economie est désormais en tête des attentes des Français…” : “Eh oui, nous y voilà, se réjouit Jean-Pierre Athiel. Enfin ! En tant que candidat sur la 2ème circonscription, nous allons voir ce que proposent les auttres candidats, que je ne considère par comme des opposants… Que cela soit bien dit ! Ouvrons maintenant le débat sur l’économie locale, il est temps”.