François Calvet, hier soir en mairie du Barcarès, présentant un document de campagne du président-candidat Nicolas Sarkozy, qui sera tracté à partir d'aujourd'hui au Barcarès...

C’est François Calvet, sénateur des P-O, maire de Le Soler, vice-président de Perpignan-Méditerranée Communauté d’Agglomération (l’Agglo PMCA) et président du Comité départemental UMP’66, qui est venu apporter la bonne nouvelle en personne, hier soir, en mairie du Barcarès… devant une grosse centaine de personnes réunies autour du lancement, localement, de la campagne électorale du président-candidat, Nicolas Sarkozy.

Salle Victor-Hugo, au rez-de-chaussée de l’Hôtel-de-Ville du Barcarès, 19h et des poussières de secondes, ils sont déjà plusieurs dizaines de militants et sympathisants UMP de la Salanque à attendre le sénateur François Calvet.

Ce dernier est (très) attendu dans le cadre d’une réunion publique, pour assurer la promotion et défendre le bilan du président de la République, Nicolas Sarkozy, candidat à sa propre succession à l’Elysée.

“JE VOUS L’AVAIS PROMIS, JE M’Y éTAIS PERSONNELLEMENT ENGAGé…”

François Calvet arrive. Il est presque à l’heure. Il est accompagné, entr’autres élus de cette 2ème circonscription, de Armande Barrère (UMP), adjointe au maire de Canet-en-Roussillon. Le moment parait important. Après avoir salué très chaleureusement l’assistance et remercié les époux Joëlle et Alain Ferrand de l’accueillir “comme toujours avec beaucoup de gentillesse et de sincérité”, le président du Comité départemental UMP’66 claironne “je ne suis pas venu avec les mains vides cette fois-ci, j’ai une excellente nouvelle à vous communiquer !… Je suis venu vous dire ce que vous attendez toutes et tous ici, je le sais…”. Il agite au-dessus de sa tête la photocopie d’un fax et il s’écrie : “Voilà, je l’ai ! Je l’ai enfin !… C’est la lettre de réintégration de votre maire Alain Ferrand, et de son épouse, Joëlle ! Je sais que c’est une chose que vous attendiez depuis longtemps, depuis des mois, je sais que certains d’entre vous commençaient à en douter, à ne plus y croire, mais je vous l’avais promis, voilà enfin cette fameuse lettre de réintégration, signée du cabinet de M. Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, qui confirme, je le cite, “Que Monsieur Alain Ferrand, ainsi que son épouse, ont bien été réintégrés. Aussi, leur adhésion a bien été prise en compte et ils sont donc désormais à jour de cotisation pour 2012″. C’est Alexandre Vincendet, responsable national du service des Adhésions à la Direction des adhérents de l’UMP, qui m’a faxé la bonne nouvelle, preuve à l’appui, vers 16h. C’est donc maintenant officiel, comme je m’y étais engagé devant vous lors de ma campagne des sénatoriales, Alain et Joëlle font partie de la famille UMP ! Je suis le premier à m’en féliciter et à les féliciter. Je voudrais vous dire à vous tous qui ètes réunis ici ce soir, au Barcarès, devant Joëlle, Alain et moi-même, que cette réintégration a été voulue également par le secrétariat départemental de l’UMP’66. Je voudrais plus particulièrement rendre hommage à l’action et à l’efficacité de notre secrétaire départemental, M. Jean-Charles Moriconi, cheville ouvrière de notre mouvement dans le département. A son poste, aux fonctions qu’il occupe, avec des responsabilités extraordinaires en cette période d’élections capitales pour l’avenir et le devenir de notre pays, et pour la famille UMP, il sait faire preuve d’un dynamisme exceptionnel, d’une efficacité redoutable. C’est aussi grâce à lui si les ténors de notre famille politique viennent fréquemment chez nous en ce moment, à notre rencontre. Récemment encore Claude Guéant, Roselyne Bachelot, François Fillon, Xavier Bertrand… On ne peut pas en dire autant des socialistes et de leur candidat François Hollande ; lesquels décidément peinent à trouver les chemins qui mènent à notre département (…)”.

Puis, devant des militants revigorés, enthousiastes, le sénateur François Calvet a évoqué longuement la candidature élyséenne de Nicolas Sarkozy, soulignant à maintes reprises que “c’est son action, sa compétence, sa volonté et son courage à la tête du pays qui ont permis à la France de continuer d’avancer et d’éviter le chaos monétaire et économique en pleine crise financière internationale (…). Il est dans cette campagne le seul homme d’Etat, le seul de tous les candidats à être respecté et reconnu par tous les autres chefs d’Etat et de Gouvernements européens ! (…)”.