Cela fait des semaines que la rumeur devient de plus en plus insistante : Nathalie Beaufils, présidente de l’UDI’66, adjointe au maire UMP de Perpignan est de plus en plus contestée à la tête du parti de Jean-Louis Borloo dans les Pyrénées-Orientales.

Il lui est reproché (à juste titre) de commettre gaffe sur gaffe, de vouloir tout régenter, de récupérer la moindre communication à son compte… Justement, dernière boulette en date de la présidente de l’UDI’66 : avoir annoncé à son initiative la venue prochaine à Perpignan – le 21 novembre à 18h 30, Salle des Libertés – de Hervé Morin, président du Nouveau Centre et ancien ministre de la Défense de Nicolas Sarkozy.

Or, c’est à Annabelle Brunet, conseillère régionale, conseillère municipale déléguée de Perpignan, responsable du parti Le Nouveau Centre, que revient cette initiative, et il était donc logique que ce soit elle qui en informe la première l’opinion.

Mais Nathalie Beaufils n’en est pas à une première politesse grillée – surtout entre blondes… – et il semblerait qu’aujourd’hui son avenir sur la scène politique perpignanaise ne tienne plus qu’à un fil… nommé Jean-Paul Alduy (UDI), président de l’Agglo (PMCA) et 1er adjoint de la Ville, qui serait le dernier à la soutenir encore et encore.

Nathalie Beaufils, présidente de l’UDI’66… Jusqu’à quand ?