Suite à l’article intitulé “Myriam Subiros va-t-elle être débarquée de la CGPME 66 ?”, que nous avons publié récemment dans ces colonnes, Mme Myriam Subiros, présidente de la CGPME’66, tient à apporter les précisions suivantes :

“Il est indécent de calculer qui pourrait être le nouveau président de la CGPME 66  en sachant que j’ai été réélue à l’unanimité du CA en septembre dernier,  et d’autre part c’est prendre les adhérents de la CGPME pour des moutons or les Chefs d’entreprise sont loin de l’être.

Les personnes que vous avancez ne sont pas membres de notre syndicat .

Quant à ma soi-disant délicatesse avec le National je ne sais pas de quoi il s’agit.

Le fait de ne pas avoir que des amis chez les représentants patronaux vient du Combat que j’ai mené avec l’ensemble de mon Conseil d’Administration sur le  financement illégal de l’UPE .

Nous avons souhaité que la Médecine du Travail ne serve pas à appeler les cotisations pour l’UPE et donc le MEDEF. Il nous paraît anormal que les entreprises cotisent sans le comprendre à un syndicat patronal.

Le fonctionnement s’est amélioré puisque 2 feuilles distinctes sont maintenant envoyées (mais dans la même enveloppe). Le caractère facultatif de la cotisation UPE n’apparaissant toujours pas.

Il faut souligner que nous sommes le seul département en France où de telles pratiques ont cours.

Je vous  propose que nous utilisions vos colonnes à parler de l’activité de la CGPME, de ses projets, plutôt que de colporter des informations sans fondement et des erreurs qui ne font pas avancer l’économie du département (…)”.