Hermeline Malherbe (PS), présidente du Conseil général des Pyrénées-Orientales, communique :

« Quoi qu’en disent Mme Irlès et MM. Castex et Mach, le Conseil Général accompagne toutes les communes des Pyrénées-Orientales »

Hermeline Malherbe (PS), présidente du Conseil général des P-O, ici en compagnie de Toussainte Calabrèse (à gauche), conseillère générale de Perpignan (photo d’Archives).

« À la lecture de l’article sur les réserves parlementaires dans le journal local du vendredi 12 juillet, je constate et confirme que certains élus sont vraiment frappés d’amnésie. Madame Jacqueline Irlès déplore « une absence de subventions du Conseil général » pour sa commune de Villeneuve-de-la-Raho. Faux. Il semble que Madame Irlès, après son lourd échec dans les urnes, ait oublié les subventions octroyées par le Conseil général entre 1998 et 2013. Il suffit pour s’en convaincre d’énoncer le financement de la création d’un espace jeunes, de la réhabilitation de l’aire de jeux du Square du souvenir français ou encore de divers travaux de voirie communale. Je ne parle même pas du pont sur la RD 39 d’un montant de 3 millions d’euros.

Monsieur Castex, maire de Prades et candidat bien malheureux aux dernières législatives, est lui aussi frappé des mêmes troubles de la mémoire. Je lui rappellerai donc simplement les subventions octroyées de 1998 à 2013 qui participent au financement de nombreux projets parmi lesquels la création d’une chaufferie centralisée au gaz pour les bâtiments communaux, l’amélioration du complexe audiovisuel et multimédia du cinéma Le Lido, l’aménagement de bâtiments communaux ainsi que de la piscine municipale ou encore la rénovation du camping municipal et la réhabilitation et la mise en sécurité des groupes scolaires.

Dois-je aussi évoquer les investissements du Conseil général dans le domaine des routes ou encore des collèges… Compte tenu de ces éléments, comment peut-on oser affirmer de telles contre-vérités ?

Je ne reviens pas non plus sur les allégations mensongères de l’assistant parlementaire maire de Pollestres, qui désormais écrit à un ministre socialiste pour recevoir une leçon de politique et mieux comprendre la crise. Le Conseil général, je le répète, est bien le garant de l’aménagement durable et solidaire du territoire. Avec la majorité départementale, nous aidons sans relâche les 226 communes dans l’intérêt général et au service des habitants du département. »