COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 

 

                – Lors de la réunion du Comité Départemental de l’UMP du jeudi 11 décembre 2014, j’ai été obligé de m’élever contre la manière dont ont été investis les candidats aux prochaines élections départementales.

                Je me réjouis de la désignation de Jean CASTEX, élu à la majorité, comme chef de file de ces élections, pour incarner le renouveau au service du département mais je ne peux cautionner les modalités de désignation des autres candidats UMP départementaux.

                Seul député UMP des Pyrénées-Orientales élu en 2012 et membre de droit du bureau départemental, je regrette de ne pas avoir été associé aux différentes réunions en vue des investitures des candidats car j’aurai privilégié le choix de faire monter des candidats UMP, ou d’une composante de l’UMP, avant de choisir de s’allier avec un autre parti, l’UDI.

                J’avais fait le choix d’encourager des jeunes, qui se sont toujours investis pour l’UMP afin de préparer le renouveau de notre mouvement au niveau départemental.

                Alors que les instances nationales de l’UMP veulent redonner la parole aux militants, il aurait donc été préférable et plus démocratique de soumettre au vote des membres du comité départemental les candidatures pour les différents cantons, voir même de l’élargir aux militants UMP de chaque canton.

                Je considère que les choix opérés par la fédération 66 ne correspondent pas toujours à nos valeurs, à notre éthique et font le lit des partis extrêmes.

                Au moment où nous devons apparaître comme une force d’opposition unie, je ne peux que regretter les dissensions au sein de notre mouvement tant au niveau national que local.

                J’en viens à me poser la question de savoir si les caciques omniprésents ne pensent pas plus à leur propre réélection qu’aux intérêts de notre mouvement et de l’avenir de notre département ?”.

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