A la tribune, autour de Laurent Gauze (debout) : Chantal Gombert, Jacques Font, Jean-Charles Delgado, Jean-Marc Pujol et Bernard Fourcade.

 

Ce matin, à 9h 30, salle des Libertés de la rue Bartissol à Perpignan, le maire, Jean-Marc Pujol (UMP), a inauguré le cycle de conférences de l’association qu’il préside, “J’M Perpignan”.

C’est devant un parterre de décideurs – thème de cette première rencontre oblige : “Quelles visions économiques pour Perpignan demain ?” – que les organisateurs ont pu s’exprimer. Parmi eux, Bernard Fourcade, président de la Chambre régionale de commerce et d’industrie (CRCI) du Languedoc-Roussillon, Jacques Font, président de l’Union pour les entreprises (UPE’66), Pierre Barbe, Gabriel Velarte, Raymond Mitjavila, Gérard Caner, Charles Pons, Fouzi Bouhadi, Myriam Subiros (présidente de la CGPME’66), Jean-Michel Mérieux, Raymond Brunet… ainsi que Chantal Gombert, responsable territoriale du CSE (Comité de suivi et d’évaluation) dans le cadre du Grenelle de l’Environnement et également vice-présidente de l’association J’M Perpignan.

Deux absences ont été (très) remarquées : celles de Jean-Paul Alduy (UDI), président de l’Agglo de Perpignan (PMCA) et 1er adjoint de la Ville de Perpignan, Romain Grau (Parti Radical), conseiller communautaire PMCA en charge des Affaires économiques.

C’est à Laurent Gauze, élu consulaire de la CCI de Perpignan, vice-président de J’M Perpignan, qu’incombait la tâche de planter le décor de cette première et de présenter les divers intervenants, dont la participation très attendue de Jean-Charles Delgado, directeur général Europe du Sud au sein du groupe Accor.

Laurent Gauze a d’abord remercié Jean-Marc Pujol “d’être à l’origine de l’initiative de ces Rencontres économiques car, par les temps qui courent, oser parler d’Economie relève de l’exploit, tant le challenge est un véritable défi. Mais celles et ceux qui, comme moi, connaissent bien le maire de Perpignan, ils savent quu Jean-Marc Pujol est homme à relever les défis, à faire face à la crise, aux crises devrais-je plutôt dire ! Si j’osais, pour avoir souvent abordé avec lui les situations économique et sociale de notre ville, Perpignan, je dirais que Jean-Marc Pujol, par son dynamisme et son sens de l’écoute déjà, est à lui seul un formidable remède à la morosité ambiante (…)”.

En conclusion à son intervention, Laurent Gauze a lancé : “A Perpignan, et nous le démontrerons avec Jean-Marc Pujol, l’austérité ne doit pas être de rigueur”. Une phrase en guise de slogan qui, visiblement, a marqué les esprits !