ASSEZ, ASSEZ DES MARCHES FINANCIERS, C’EST AU PEUPLE DE GOUVERNER !

Sous ce titre, Danielle Bruni-Benquet, co-secrétaire départementale du Parti de Gauche’66, nous communique avec prière d’insérer :

“Ce 5 mai 2013 à Perpignan près de  2000 personnes du Castillet à la place de la République, à la place Cassanyes, au boulevard Jean Bourrat et retour au Castillet pour dire :

« Assez, assez des marchés financiers c’est au peuple de gouverner ! » :

Pour faire un écho à la grande marche citoyenne de la Bastille à la Nation, réclamer une 6ième République  et un changement de système puisque celui que nous subissons, tous, ne réussit pas et n’entraîne que chômage, désindustrialisation, paradis fiscaux, austérité, déni de l’intérêt général  et mépris de l’humain !

L’appel du Front de Gauche 66, du NPA a été entendu et compris par beaucoup de nos concitoyens qui voient bien le nombre des précaires, des chômeurs, des sans -logis augmenter particulièrement dans notre département. L’austérité ?  Beaucoup  la subissent déjà… et tout le monde comprend bien d’où elle vient : de la signature des traités européens tels que mis en place par Merkozy et validés par notre gouvernement, des accords voulus par le MEDEF contre la classe de ceux qui produisent la richesse : les travailleurs !

La poursuite de « réformes » qui ne se soucient plus des besoins de l’humain, la perte du pouvoir d’achat qui entraine une baisse des dépenses donc de la « croissance ! ».

Assez de cette politique ! Ce n’est pas le Front de Gauche qui divise la gauche c’est la rupture avec les valeurs fondamentales de la gauche. Personne et surtout  pas Jean-Luc Mélenchon, n’insulte les électeurs socialistes qui doivent être bien malheureux de ces dérives du gouvernement dit socialiste ! Beaucoup dans notre département qui  pensent  bien à gauche.

Ceux qui sont insultés sont ceux qui nous trompent , ceux qui poursuivent  la même politique que la droite en recherche de profits, ceux qui laissent fermer ou vendre nos fleurons industriels, ceux qui veulent contracter les dépenses publiques d’intérêt général, ceux qui méprisent les droits des travailleurs bref, ceux qui oublient qu’ils étaient à gauche élus par des gens de gauche.  Pour eux il faudrait un référendum révocatoire. Alors au lieu de manier la grosse ficelle qui consiste à essayer de diviser le Front de Gauche, les gens de gauche : ceux qui se rendent compte qu’on leur demande de la patience pendant qu’on finit de détruire tout ce qui reste de droits sociaux , devraient se retrouver pour demander des comptes, pour demander un changement de cap… pour notre département, pour notre pays,  pour l’Europe : c’est possible ! C’est humain ! il faut que la gauche réussisse !

Ne pas oublier  que c’est juste une question de volonté et de courage politiques !”.