(Vu sur la Toile)

 

“Si j’y vais, je vais lui mettre une tarte” : Olivier Marchal tacle Jean-Luc Mélenchon
(Lison Nicolas – Voici)
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Invité de l’émission Chez Jordan, diffusée sur le site de Télé-Loisirs, le réalisateur Olivier Marchal n’a pas hésité à tacler Jean-Luc Mélenchon et révélé pourquoi il avait refusé de débattre avec lui alors que Cyril Hanouna le lui avait proposé.
Depuis la réélection d’Emmanuel Macron à l’Elysée, le 24 avril dernier, Jean-Luc Mélenchon s’active pour tenter de former une coalition d’opposition au chef de l’Etat, en vue des élections législatives, les 12 et 18 juin 2022. Arrivé en troisième position de l’élection présidentielle, le leader de La France Insoumise estime qu’il est le mieux placé pour réunir les suffrages nécessaires. “Elisez-moi Premier ministre !”, lançait-il à Bruce Toussaint sur BFMTV, mardi 19 avril 2022. Une chose est sûre, l’homme politique ne pourra pas compter sur le vote du réalisateur Olivier Marchal. Invité de l’émission Chez Jordan, diffusée sur le site Télé-Loisirs, présentée par Jordan de Luxe, ce dernier n’a pas hésité à violemment tacler Jean-Luc Mélenchon.

 

Il refuse de débattre avec Jean-Luc Mélenchon
Alors que l’animateur le questionnait sur ses précédentes participations à l’émission phare de C8, Touche pas à mon poste, mais aussi sur ses relations avec Cyril Hanouna, le créateur de la série Braquo, a notamment révélé qu’il lui avait proposé de débattre avec Jean-Luc Mélenchon.

Le réalisateur serait venu dans le cadre de l’émission politique Face à Baba, qui était alors consacrée au chef de file de La France insoumise, pendant la campagne présidentielle. Olivier Marchal a refusé. “J’ai dit : ‘Si j’y vais, je vais lui mettre une tarte dans la gueule, donc ce n’est pas la peine’. Ce que le mec dit sur les flics, ce n’est pas possible. Moi, je ne peux pas”, s’est alors lâché l’ancien policier. Il ne mâche pas ses mots. “J’ai vu l’émission face à ce policier de la BAC qui était exceptionnel. Je trouve qu’il a été d’une élégance et d’une dignité face à ce c*nnard, qui est un aboyeur”, a-t-il enchaîné, en s’emportant. “Moi, je ne peux pas. Ce mec est laid. Il est laid à l’intérieur. C’est un usurpateur, un espèce de tribun dangereux”. Cash… “Je pense qu’il faut un peu de classe en politique, un peu d’élégance”, a ensuite conclu le réalisateur.