(Texte en réponse à l’article paru dans ces mêmes colonnes le 20 décembre 2019)

 

“En présentant aux élections municipales de mars prochain une liste « sans étiquette », je n’ai pas cherché à dissimuler ma sensibilité personnelle.
Beaucoup savent que j’ai appartenu à des formations de droite et participé d’ailleurs à des élections nationales : législatives et européennes.
Cela dit, je n’appartiens aujourd’hui à aucun parti politique.
Je n’ai jamais adhéré au Parti socialiste et j’ai appartenu à la liste de Christian OLIVE uniquement pour les qualités que j’ai reconnues chez l’homme, mettant en cela de côté, comme lui-même l’a fait pour moi, la « couleur » de son équipe.
En me présentant aujourd’hui à la tête d’une liste « sans étiquette », je veux justement, dans la même démarche que j’ai eue avec Christian OLIVE , signifier aux Boulounencqs que j’entends, s’ils m’accordent leur confiance, diriger leur ville en dehors de tout clivage partisan et en respectant les sensibilités politiques de chaque citoyen, avec l’humanisme comme principale directive morale.
Mon équipe, comportant d’ailleurs diverses sensibilités, en est d’accord car je suis attachée à cette règle. Chacun de ses membres a pour consigne d’être ouvert à tous.
De plus, faut-il ou non dire que ce n’est pas la couleur politique affichée, mais les qualités humaines et celles de gestionnaire responsable qui sont les garants d’une bonne conduite des affaires municipales”.

 

Christiane BRUNEAU.

 

 

(photo@hervéLouvet)