“Nous avons pu constater lors de nos nombreuses rencontres avec les BarcarÄ—siens qu’il régnait sur la ville un climat de peur et de suspicion insufflé par le maire de notre ville”, a martelé Véronique Pastoureau devant des journalistes.

“On entend souvent : ”je vous soutiendrais bien mais si cela se sait, mon fils perdra son emploi à la mairie”, ”si je fais parti de votre liste, on m’augmentera mon bail ou m’enlèvera mon droit de terrasse”, ”si on me voit avec vous, je n’aurai pas le logement que l’on m’a promis” et des meilleures encore ! Je n’accuse personne en particulier, mais ce que je sais c’est que ce maire, à force de promesses d’embauches, de subventions et autres dotations fait pression indirectement sur nos administrés (…). Vous me direz ce n’est pas nouveau, ou “ils le font tous “. Et bien non !, il ne faut pas l’accepter et non !, ils ne le font pas tous. Ce genre de pratique porte un nom : le chantage. Cela est inacceptable en démocratie. Combattons ces dérives. Personne, le jour des élections ne sera avec vous, dans l’isoloir, et ce sera le moment de sanctionner ces méthodes.

C’est pourquoi, martèle la candidate Véronique Pastoureau devant  les Barcarésiens, vous ne devez pas céder aux chantages, aux remises de procurations imposées. Vous ne devez pas capituler face aux pressions de toutes natures. C’est notre devoir d’hommes et de femmes libres. La liberté de pensée, le vote aux élections sont des droits. Nous devons tous nous battre, nous mobiliser pour les conserver et écarter tous ceux qui les entravent ou ne les respectent pas (…).

Ce que je constate également, c’est qu’à cause de notre sulfureux et très inquiétant maire, M. Alain Ferrand, notre commune Le Barcarès est en train d’être isolée, mise à l’écart, sur la scène départementale ; plus aucun des responsables politiques n’osent s’afficher à ses côtés ! 

La population du Barcarès doit saisir la chance des prochaines élections municipales, les 23 et 30 mars 2014, pour virer un maire qui n’est plus digne de la représenter. Il faut mettre un terme aux pratiques scandaleuses d’Alain Ferrand, dont le but quotidien est de diviser tous les Barcarésiens pour mieux régner en Seigneur (…)”.