C’est le magazine régional du Club des 500 qui l’annonce :

“Après sa mise à l’écart du conseil régional Languedoc-Roussillon qu’il a très mal vécu par l’équipe de Christian Bourquin – dont il fut à Perpignan un éphémère Directeur général des services (DGS) quand l’actuel patron de la Région et sénateur des P-O était président du conseil général des Pyrénées-Orientales – blessé dans son amour propre comme il le dit, revoilà l’ancien directeur de cabinet de Georges Frêche et ancien DGS de l’Agglomération de Montpellier, François Delacroix. On le voit dans toutes les manifestations comme encore à la Foire aux associations, prospectus à la main. Son nouveau combat : Montpellier 2020, une association qu’il a créé avec de nombreuses autres personnalités de Montpellier pour, bien sûr, préparer les élections municipales de Montpellier de 2014. “Mon objectif est de créer un laboratoire d’idées pour 2014-2020”, précise-t-il. “Nous proposons 8 priorités : faire de Montpellier et des villes qui l’entourent une métropole en réseaux, organiser le développement et l’aménagement de cette métropole tournée vers la qualité de vie des habitants, prolonger l’urbanisme de Montpellier pour répondre aux défis de la démographie, accélérer le rythme de construction de logements, maîtriser la pression fiscale, faire de la métropole de Montpellier un modèle contre l’échec scolaire, développer une ville intelligente, promouvoir l’identité mosaïque de Montpellier en matière de culture”. Huit propositions donc. Mais pour qui ? Pour quel programme ? Pour l’instant, François Delacroix ne se prononce pas… encore”.

François Delacroix (et son Montpellier 2020) ne vous rappelle-t-il pas quelqu’un, plus près de chez nous, à Perpignan ?… Langue au chat ? Un certain… Romain Grau, vice-président de Perpignan-Méditerranée Communauté d’Agglomération (PMCA), et son Perpignan 2020, non ?