Communiqué du groupe FN-RBM de Perpignan Ensemble avec Louis Aliot

 

“A Perpignan, on casse le thermomètre pour ne pas voir la température du malade.

Enlever les bancs c’est prendre acte de l’insécurité sans rien faire et faire payer les gens honnêtes et tranquilles !

C’est vrai aussi pour les zones de non-droit qui se développent. Comme on ne peut, ou on ne veut, faire régner l’ordre, alors on les abandonne aux dealers, aux trafiquants, aux petits ou grands délinquants de toute sorte.

Qui va encore trinquer ? Nos anciens, ou les personnes à mobilité réduite, les femmes enceintes, ou encore le simple citoyen, pour qui ce type d’équipement urbain est indispensable.

Une nouvelle fois les honnêtes gens font les frais du laxisme de d’Etat, puisqu’ils vont encore voir leur qualité de vie amoindrie par une petite délinquance qui dicte sa Loi dans les quartiers!

En viendra-t-on un jour à supprimer l’éclairage public la nuit sous prétexte que cet éclairage  gêne les trafics des petits malfrats ?

Au lieu d’une tolérance zéro réclamée par le Front National et le Rassemblement Bleu Marine, voilà où ou nous a mené un laxisme UMPS généralisé et une politique de compréhension des motivations de la délinquance !”.