Suite aux differentes interventions Abdallah KROUK et Nasser NOUALI depuis la création de leur groupe de transition à l’article 1er du 4 octobre 1958, dont la colonne vertébrale est la citoyenneté légitime des anciens combattants harkis et leurs enfants, et après plusieurs articles de presse écrit et notamment publié dans les quotidiens régionaux La Dépêche du Midi et Midi Libre, ainsi que dans le quotidien L’Indépendant et sur le site ouillade.eu… sur le plan médiatique les revendications pour réhabiliter auprès de l’armée leurs frères d’armes ont étaient entendues et concrétisées, à savoir :

1- le sujet du baccalauréat 2018 en histoire avait pour sujet les citoyens français anciens combattants harkis,

2- la nomination du général Daniel MéNAOUINE enfant de citoyens français anciens combattants harkis responsable du service national universel,

3- la nomination du colonel Nasser BOUALEM, responsable de la gendarmerie du département des Alpes-Maritimes et petit-neveu du Bachaga BOUALEM, trois fois vice-président à l’Assemblé Nationale.

“Concernant le rapport du préfet CEAUX plusieurs éléments que nous avons portés à sa connaissance ont été  fortement repris, en effet celui-ci emploie le terme de composante et non plus de communauté, de plus il précise que la première génération et enfants ont du repasser dans les camps devant un juge, moyennant 5 francs de l’époque et par personne, pour confirmer leur légitime citoyenneté alors qu’ils portaient l’uniforme français. Le groupe de travail de transition exemplaire et impartial est en totale conformité avec les textes de la Vème République et dans la feuille de route qu’attendent de nous nos institutions et nos concitoyens, à savoir la citoyenneté pleine et entière avec des droits et des devoirs dans les valeurs républicaine, et le cadre du droit commun pour les jeunes générations dans le travail, le mérite et la réussite. Ce travail n’est que le début d’une réussite totale dans la justice et pour l’avenir d’une cohésion sociale avec tous nos concitoyens. Nous demandons que le 25 septembre – Journée nationale d’hommage aux harkis – dans le discours aux Invalides, à Paris, repris par tous les préfets des départements, soit mentionné le qualificatif Citoyens français anciens combattants harkis et non plus les appellations supplétifs français musulmans rapatriés d’origine nord africaine, qui sont une entorse à l’article 1er de la constitution du 4 octobre 1958 et à la laïcité, suite à l’ordonnance du 9 décembre 1905″.