Chers amis (es) voilà ce que je viens de diffuser sur mon blog c’est un « coup de colère » mais je tenais à le rendre public. Merci de la suite que vous voudrez bien y donner.

Nicolas Garcia

« Une petite dédicace à Mr Harlem Desir!

Si quelqu’un connaît l’adresse électronique, Facebook ou Tweeter du premier secrétaire du PS, Harlem Desir, cette personne peut me rendre le service de lui faire parvenir ce lien cela m’arrangerait. Le but de cette petite vidéo, qui n’est pas de ma création, est de montrer à ce monsieur ce que fut l’accueil de l’Etat français pour les Républicains Espagnols, parmi lesquels mon grand-père interné à Argelès. Heureusement qu’à cette période des françaises et des français, catalans en particulier, sauvèrent l’honneur de la France avec leur attitude humaine, solidaire, militante. Ils étaient les ancêtres de celles et ceux (RESF, Bouge-toit, militants communistes, CGT, écolos, socialistes aussi parfois, et tous les autres que je ne cite pas) qui résistent aujourd’hui aux chasseurs de Roms et aux expulsions d’étrangers de notre pays (aussi des enfants), dont presque toujours le retour constitue un danger, soit à cause des régimes politiques dictatoriaux et assassins de leur pays d’origine, soit à cause des famines ou des guerres qui y sévissent. Je suis gentil avec Mr Desir car j’aurais pu lui envoyer les photos des enfants à moitié mort de faim et de froid du Camp de Rivesaltes où ceux décharnés accueillis par Elisabeth Eidenbenz à la Maternité d’Elne, tous espagnols si bien accueillis par l’Etat français et qui le remercient de cet accueil (comme l’affirme Harlem Desir) surtout quand ils se souviennent de leurs propres souffrances dans ces camps de concentration ou pire, de leurs parents parfois de leurs enfants qui y ont laissé la vie.

Nicolas Garcia

Maire d’Elne où Elisabeth Eidenbenz et le secours suisse aux enfants ont créé une Maternité dans laquelle elle a sauvé des centaines et des centaines d’enfants qui, sans cela seraient sans doute morts dans les camps français à cause des conditions de détentions et d’internement de leurs mères et de leurs pères, entourés et séparés entre eux par des barbelés, mais tous pleins de reconnaissance pour L’Etat français qui poursuivit cet acharnement après la deuxième guerre mondiale avec le plan Boléro-Paprika.