L’ancien premier ministre socialiste espagnol, Felipe Gonzalez, déclare au président catalan : “Il n’y aura pas d’indépendance. Ceux qui la promettent provoqueront une frustration dangereuse (…)”.

Parallèlement, un sondage réalisé par le Centre d’Etudes et d’Opinions de la Generalitat de Catalunya (parlement catalan à Barcelone), en vue des élections pour le renouvellement justement du parlement de Catalogne, le 25 novembre 2012, prévoit : 26,3% des suffrages pour la coalition au pouvoir, Convergence et Union (CiU), 6,5% pour le Parti populaire, 5,9% pour la gauche républicaine de Catalogne, 3,4% pourInitiative pour la Catalogne-Les Verts, 3,1% pour PSOE de Catalogne, 1,4% pour le parti “Ciutadans” et 1,3% pour Solidarité catalane.

En outre, 74% des sud-catalans seraient partisans d’un référendum sur l’autodétermination.

Dans un entretien publié par le New-York Times, Artur Mas, président de la Generalitat de Catalunya, affirme “Qu’un Etat catalan disposerait d’un PIB supérieur à celui d’une douzaine de pays de l’Union européenne” (sources : Ara, Agence France Presse, El Periodico de Catalunya).