Encore une info – et pas un “xipot” ! – qui nous (re)vient du banc des sénateurs… N’en déplaise à certains locataires du site, les sages ! C’est un clin d’Å“il, of course…

Combien la commune va-t-elle devoir verser aux actionnaires de la SAGA ?

Pour Pierre AYLAGAS (PS), l’ancien maire, et Antoine PARRA (PS), son successeur à la mairie, sur les conseils avisés de François PARSI, le Directeur Général des Services (DGS), le montant ne dev(r)ait pas dépasser les 400 000€…

Et selon les propos de Pierre AYLAGAS, il y a environ un an de cela lorsqu’il était encore confortablement installé dans le fauteuil de 1er magistrat de la commune : “Avec 200 000€, ils peuvent s’estimer heureux” !

Mais voilà : à la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) de Perpignan et des Pyrénées-Orientales, ainsi qu’à la Caisse des Dépôts, on ne l’entend pas de la même oreille… L’institution consulaire et l’organisme financier dont il est ici question, veulent naturellement récupérer leurs billes à hauteur de 40% (montant de leurs actions), ce qui ne serait pas loin du million d’euros, selon les experts qui suivent le dossier, ou qui ont eu à approcher la transaction en cours. On parle très exactement d’une somme de 950 000€.

Si, effectivement, ce million s’avère juste, quel sera alors le discours du nouveau maire aux élus… puisque la dissolution de la SAGA, SEM (Société d’Economie Mixte) en régie, devait se réaliser à condition de ne pas dépasser les 400 000€ ? “Au-delà, ce serait une très mauvaise affaire financière pour la commune”, s’inquiète un conseiller. “Et, surtout, quel mensonge aux élus”… Les mauvaises langues diront “un de plus !”.
Mais nous n’en sommes pas (encore) là. A ce stade-là, il s’agit de pure fiction, puisque début novembre 2016, le 3 plus précisément, se réunissent, les représentants de la commune d’Argelès-sur-Mer et les actionnaires pour entériner les indemnités à verser.  Comme on vous l’écrit.
“Mis à part, Pierre AYLAGAS, Antoine PARRA et François PARI, personne ne comprend cette dissolution et, surtout, les intérêts de la commune… si ce n’est déshabiller le port pour habiller la commune, ou du moins ce qu’il en restera”, s’inquiète un observateur avisé.