Le feuilleton continue, à Argelès-sur-Mer, où un simple citoyen (et contribuable… ce qui par les temps qui courent est plutôt précieux), Reynald GEORGES, assureur de son état, tente de récupérer une parcelle, qui lui appartient, attenante à un terrain dont il est propriétaire, et donc partie intégrante de sa propriété.

Las d’être “promené et mené en bateau”, Reynald GEORGES a adressé une énième correspondance à Pierre AYLAGAS (PS), en tant que président de la Communauté de communes Albères/ Côte Vermeille/ Illibéris, ainsi qu’à son successeur dans le fauteuil de maire d’Argelès-sur-Mer, Antoine PARRA (PS). Le citoyen a même fait établir un constat d’huissier devant, souligne-t-il, “tant de mépris de ces deux élus à mon égard”.

Car, toujours selon lui, “les deux Collectivités se renvoient la balle. Je veux récupérer mon lopin de terre sur lequel l’une des deux collectivités territoriales a entreposé des Algeco. Un point c’est tout ! J’ai rencontré M. PARRA à la mairie d’Argelès et je me suis fait accompagner de maitre CHABAUD, huissier de justice à Argelès-sur-Mer (…). Le dossier est maintenant entre les mains de Me MARGALL, avocat à Montpellier spécialisé dans l’Urbanisme et la collectivité locale. Puisqu’il faut en arriver là, car je n’ai plus le choix aujourd’hui. Je ne sais pas laquelle des deux Collectivités paiera à l’arrivée, car l’une d’entre elles devra me dédommager, mais désormais c’est la Justice qui gèrera l’affaire. Je suis le premier à déplorer d’être obligé d’en arriver là, mais, je le répète, on ne me laisse pas le choix”.