Pendant plus d’une heure, Charles Campigna a exposé “en plein air et sous un soleil printanier” son projet pour Argelès-sur-Mer et s’est prêté au jeu des questions-réponses dans une ambiance des plus conviviales

 

Poursuivant méticuleusement ses rencontres personnalisées et originales au plus prés des Argelésiens pour leur présenter son programme quartier par quartier, Charles Campigna était cet après-midi au “petit marché de la mer”, situé Plage-nord entre le boulevard de la Mer et l’avenue des Corbières où une quarantaine de riverains ont tenu à le rencontrer pour aborder avec lui leurs préoccupations quotidiennes

 

Pendant un an, jusqu’au 31 octobre 2019, Charles Campigna a rencontré très exactement 1 894 Argelésiens – Quatre fois plus que le maire sortant lors de sa réunion publique d’hier soir à l’Espace Jean Carrère – pour consigner sur plusieurs cahiers leurs doléances, leurs souhaits: “Mon programme, mon projet pour Argelès pour les dix, quinze, vingt prochaines années a été écrit, élaboré, à partir de ce dialogue à l’échelle de la commune. Mon équipe et moi-même avons tout noté, nous avons écouté, entendu les Argelésiens. Nous savons quel est l’Argelès qui veulent. Trois axes ont nourri notre réflexion à partir de ces échanges très fructueux : la sécurité, l’urbanisme et le lien social”.

A partir de ces thèmes, recentrés sur le secteur de la Plage-nord, Charles Campigna a déroulé ses objectifs, ce samedi 22 février 2020, de 15h à 16h 45, évoquant sa vision entre l’avenir du bois de pins et la dynamique du centre commercial Costa Blanca. Mobilité, commerces, cadre environnemental des personnes âgées, retour des douches sur la plage (en utilisant une eau recyclée et des minuteurs pour limiter les gaspillages) : le candidat, en orateur infatigable et inépuisable, a su trouver les mots et les sujets pour retenir l’attention de toutes et de tous. Réunir pendant plus d’une heure, un samedi après-midi, en plein air, même sous un soleil printanier, relève presque de l’exploit dans une période où les réunions publiques électorales ne soulèvent pas un grand enthousiasme.

 

Parmi les colistiers qui cet après-midi entouraient le candidat Campigna : Aurélie Martin-Barry, Paulo Guerreiro-Vicente, Michelle Andréani et Myriam Oms.